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Eglise Protestante Unie de Narbonne

Dimanche 5 septembre 2021 : Marc 7, 21 - 37

4 Septembre 2021, 20:21pm

Publié par egliseprotestanteunienarbonne@gmail.com

Enregistrement audio du culte : cliquez sur ce lien.

Dimanche 5 septembre 2021

pasteur Philippe Perrenoud

Marc 7, 31-37

 

Il arrive :

Il parle

Il écoute

Il touche

Il part

Il s'arrête

Il marche, il entre ; il annonce.

Il tombe ; il meurt...

Il est là.

La Grâce et la paix nous sont donnée par lui, lui le Seigneur qui fait toujours parler de lui depuis 2000 ans, Jésus, le Christ...

 

Pour dire ensemble que nous sommes venu pour nous mettre à sa suite, je vous invite à chanter au n° 214, les 3 strophes ; attention, le 4 refrain est un peu différent)

 

Refrain : Seigneur, nous arrivons

Des quatre coins de l’horizon ;

Nous voilà chez toi.

Seigneur, nous arrivons

Des quatre coins de l’horizon,

Dans ta maison.

 

1. Nous avons marché sur des routes humaines.

Nous avons porté le fardeau des jours.

Nous avons souffert la fatigue et la peine.

Nous avons offert simplement notre amour.

 

Refrain : Seigneur, nous arrivons

Des quatre coins de l’horizon ;

Nous voilà chez toi.

Seigneur, nous arrivons

Des quatre coins de l’horizon,

Dans ta maison.

 

2. Nous avons marché au milieu de nos frères.

Nous avons porté le poids de nos jours.

Nous avons souffert en voyant leur colère.

Nous avons offert simplement ton amour.

 

Refrain : Seigneur, nous arrivons

Des quatre coins de l’horizon ;

Nous voilà chez toi.

Seigneur, nous arrivons

Des quatre coins de l’horizon,

Dans ta maison.

 

3. Nous voici enfin tous autour de la table

Rassemblés ici pour parler de toi.

Tu nous as nourris d’un amour formidable

Et nous te chantons simplement notre joie.

 

Refrain 4 : Seigneur, nous arrivons

Des quatre coins de l’horizon ;

Nous voilà chez toi.

Seigneur, nous te chantons,

Nous te louons, comme il fait bon

Dans ta maison.

 

Exprimons notre reconnaissance, la louange, avec l'aide du Ps 146 (suggéré dans la liste des textes du jour) :

 

1Alléluia !

O mon âme, loue le SEIGNEUR !

2Toute ma vie je louerai le SEIGNEUR,
le reste de mes jours, je jouerai pour mon Dieu.

3Ne comptez pas sur les gens influents :

ce ne sont que des êtres humains, ils sont impuissants à sauver.

4Dès qu'ils rendent leur dernier souffle,

dès qu'ils retournent à la terre,

leurs projets périssent avec eux.

5Heureux celui qui a pour secours le Dieu de Jacob

et qui met son espoir dans le Seigneur son Dieu !

6Il a fait les cieux et la terre,

la mer, avec tout ce qui s'y trouve.

Il est l'éternel gardien de la vérité.

7Il rend justice aux opprimés, il donne du pain aux affamés.

Le Seigneur libère ceux qui sont enchaînés,

8le Seigneur rend la vue aux aveugles,

le Seigneur remet debout ceux qui fléchissent,

le Seigneur aime les justes.

9Le Seigneur protège les réfugiés, il soutient la veuve et l'orphelin,

mais il fait échouer les projets des méchants.

10Le Seigneur règnera pour toujours.

Alléluia !


Nous le louons encore par le chant du Ps 67, les 2 strophes :

 

1. Que Dieu nous bénisse et nous garde,

Lui dont la joie est de donner ;

Dans son amour qu’il nous regarde

Et nous serons illuminés.

Tous ceux qui espèrent

Verront sur la terre

S’ouvrir un chemin,

Car Dieu qui s’avance

Est la délivrance

De tous les humains.

 

2. Que tout pays lui rende grâce

Avec des chants, des cris de joie.

Il vient régner sur toute race

Et gouverner selon le droit.

La terre est féconde

Et ses fruits abondent

Car Dieu nous bénit.

Oh ! que Dieu bénisse

Ceux que sa justice

En tous lieux unit.

 

Je vous invite alors à la prière :

 

Béni sois-tu, Seigneur Jésus,

Dans ton amour, prends pitié de notre faiblesse.

Tu veux que nous proclamions que tu es vivant,

Et nous-mêmes, restons si souvent fermés.

Seigneur, pardonne.

Tu veux que nous annoncions ta lumière,

Et nous tâtonnons dans l'obscurité.

Seigneur, pardonne.

Tu nous promets la venue de l'Esprit Saint,

Et nous avons tant de mal à l'accueillir.

Seigneur, pardonne.

Amen

D'après DEISS Lucien.

 

Nous exprimons encore notre repentance par le chant Toi qui es lumière, au n° 318, la 1ère strophe (des répons chantés, dans formule 3)

Toi qui es lumière,

Toi qui es l’amour,

Mets dans nos ténèbres

Ton Esprit d’amour.

 

1. Viens sur notre terre,

Viens ouvrir nos coeurs,

Toi qui nous libères

Et nous rends meilleurs.

 

Jésus a ainsi dit: “je suis la lumière du monde.

Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres,

mais il aura la lumière de la vie”.

 

 

Et lorsqu'il nous parle, Dieu se fait présence et grâce, vie pour nous.

Il nous relève ; je vous invite ainsi à vous lever aussi pour lui chanter notre reconnaissance : toujours à l'aide des répons 3, le n° 526, 3

Jésus est au milieu de nous,

Son regard s’abaisse sur nous.

Sa douce voix, l’entendez-vous ?

Oh ! je vous aime tous !

Oh ! je vous aime tous !

Sa douce voix, l’entendez-vous ?

Oh ! je vous aime tous !

 

Rappelons-nous ce que le Seigneur nous invite à vivre, tel que l'exprime la lettre aux Philippiens, au chapitre 2 (le début tout d'abord ; la suite tout à l'heure...) :

 

Ayez un même amour, une même âme, une même pensée.

Ne faîtes rien par esprit de parti, ou par vaine gloire,

mais que l’humilité vous fasse regarder les autres comme étant au-dessus de vous-mêmes.

Que chacun de vous, au lieu de regarder à son propre intérêt, considère aussi celui des autres.

Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus-Christ,

lequel n’a pas voulu se prévaloir de son égalité avec Dieu,

mais s’est anéanti lui-même,

prenant forme d’un serviteur et devenant semblable aux hommes.

 

Nous pouvons ainsi lui dire, en chantant ensemble : toi qui m'appelles...

dans formule 3, Arc-en-ciel 405, 4 :

Toi qui m’appelles

Dans ton amour,

Rends-moi fidèle

Par ton secours.

Protège-moi

Et conduis-moi

Loin du danger,

O bon berger.

Vois ma faiblesse

Et me soutiens

Par ta tendresse,

Je t’appartiens.

 

Prions ensemble, avant de lire un des passages suggéré pour ce dimanche :

 

Seigneur,

de toute parole,

tu es la vérité, la solidité,

la consolation qu'elle apporte.

Mets en nous ton Esprit pour que ta Parole

devienne source de vie.

Mets en notre bouche des paroles

qui consolent et illuminent.

Rends-nous attentifs au droit et à la justice.

Fais-nous soupirer vers une création nouvelle.

Guide notre cœur et notre foi.

Donne à nos labeurs et à nos pensées

de porter du fruit.

Donne-nous le pain de la paix.

Amen

 

Lecture de l'Evangile selon Marc, au chapitre 7, les versets 31 à 37

 

et prédication :

La présence terrestre de Jésus est très souvent faite (pour ne pas dire toujours) de rencontres. Nous envisageons d'ailleurs ainsi comme fil conducteur pour l'école biblique le titre des hommes et Dieu.... Nous sommes emmenés, à la lecture des Evangiles, à la découverte de Dieu au travers d’une série de rencontres, très variées ; aussi variées que l’est l’humanité elle-même. Dieu venant nous rejoindre et nous éclairer, les rencontres de l’Evangile nous racontent des dialogues, des présences, des questions à résoudre, etc... afin de permettre aux hommes de vivre véritablement : que ce soit face à la souffrance, à l’exclusion (d’origine physique ou sociale), aux difficultés relationnelles, ou aux quêtes liées à la raison d’être de l’humanité, à l’existence, aux injustices, et autres « vivre ensemble » en société.

Ici, dans le passage que nous venons d’entendre, tout cela se trouve rassemblés. Car s’agissant de rencontres, le sort des homme ne laisse pas notre Seigneur indifférent…

Bien au contraire, c’est avant tout pour ces homme et femmes en attente d’un Salut, que Jésus est venu et s’approche. Et s’agissant d’une rencontre, Jésus ne se contente pas ici d’un petit tour de magie ou d’un acte médical. Il est lui-même affecté par la situation de cet homme sourd et quasiment muet ; donc bien entravé dans cet essentiel qu'est la dimension relationnelle... De plus, bien plus, et surtout : dans une rencontre véritable, la souffrance de l’autre devient aussi un peu la mienne… Elle m’affecte. Alors, loin de faire simplement et froidement son miracle, Jésus soupire ; il gémit lui aussi.

Une petite mention, un petit verbe, qui passerait presque inaperçu dans ce récit. Le récit fonctionnerait d'ailleurs très bien sans... Cette mention est donc importante...

En grec, c'est le même verbe que pour Israël captif ; c'est aussi le gémissement qui déplore quelque chose... qui en prend la mesure, donc. Et avant cela, le temps nécessaire que cela suppose...

Avant la solution, Jésus mesure et vit dans son humanité toute la peine des hommes. Dans ce gémissement de Jésus, nous percevons combien nous pouvons être étonnés d’un Dieu qui nous montre une nouvelle fois qu’il n’est pas le lointain, distant, inatteignable, mais le tout proche, venu jusqu'à nous. Il souffre avec ceux qui souffrent ; c’est-à-dire la signification même de la sympathie…

Si je vous avais demandé au début : est-ce que Dieu est sympathique ? (poser la quest....) Vous auriez peut-être été étonnés, car ce n'est pas l'image la plus fréquente... dans la société et dans l'histoire... Mais vous/nous aurions également pu répondre oui !... Car il est nécessairement gentil, etc… Or c'est beaucoup plus profond que cela : car l’étymologie, l’origine même du mot sympathie est beaucoup plus profonde : il signifie « souffrir avec » : sun en grec , signifie avec, et pathi, pathos  : souffrir. Ce n’est pas avant tout, comme nous le comprenons souvent de nos jours, quelqu’un de gentil, ou d’enjoué, ou de marrant, mais quelqu’un qui est capable d’être proche de vs ; y compris, et surtout dans les moments difficiles.

Ou plus précisément encore : de l’empathie ; car on ne souffre pas nécessairement avec . Mais, comme le désigne l’empathie : en en grec : dedans, et pathi, pathos souffrir : donc essayer de nous identifier à ce que vit quelqu’un, essayer ressentir ce qu’il ressent. même si la souffrance n’est pas la même… Nous ne pouvons donc jamais accomplir humainement l'empathie ; mais y penser...

Dans ce soupir de Jésus, s’exprime à la fois un écho de la douleur des hommes, et la douleur de Dieu devant l’exemple d’un homme que le mal tient lié ; et au-delà de lui, tout un peuple et tout un monde.

Il marque donc cela avec des éléments corporels, matériels : toucher, puis la salive,

Cette empathie, ou sympathie de Dieu éclaire ainsi nos zones d’ombres, d’obscurités. Au lieu de se demander, comme nous pouvons l’entendre, devant le mal : que fait Dieu ?, ou pourquoi Dieu laisse-t-il faire cela ?, ce passage (comme tant d’autres…) nous dit bien plutôt : il est là, avec vs, dans cette difficulté ; il a gémit comme nous/vous, il a ''souffert avec'' nous ; et cette sympathie a débouché vers la guérison. Après le soupir, Jésus a guéri. Alors, nous aussi, après nos gémissements, sachons également apporter ceci ou cela. Car la sympathie ne peut laisser indifférent.

Elle est simplement (et c’est déjà tellement) une présence avec l’autre ; au-delà de ce qui enferme (comme ici la surdité qui coupe du monde. Mais il y a tant d’autres maux qui coupent du monde, qui exclut…) Le plus grave, pour le sourd de ce passage, est moins son handicap physique que l’exclusion que cela engendre. Jésus, en venant avec lui, le remet donc doublement en route.

 

Encore une fois, la sympathie agit là où on la voit le moins. C’est sans doute pour cela que Jésus le prend à part, puis demande à ses disciples de ne pas raconter ce miracle : car le spectaculaire cacherait l’essentiel. La sympathie ne suppose pas de tout donner tout de suite, mais d'aider l'autre à cheminer, en l'accompagnant.

Il y a ceux qui déplace une pierre et en parle comme s'ils avaient déplacé une montagne ; et puis ceux qui déplacent une montagne dans un silence absolu (d'un auteur inconnu, peut-être Jean Chrisostome) L'essentiel, l'authentique n'est-il pas en effet dans la gratuité... de pas donner pour avoir...

Cette consigne du silence, aussi étonnante soit-elle, revient pourtant à plusieurs reprises dans l’Evangile. Elle ne signifie pas seulement que Jésus veuille éviter toute publicité tapageuse autour de son activité. Elle montre surtout le souci du Christ d’éviter tout malentendu sur son rôle : il n’est ni un guérisseur ni un simple prophète. Aucune catégorie humaine, aucun racontar de bouche à oreille (et surtout, en l’occurrence ;) …) ne peut rendre compte de lui. Il est le Messie, qui devra passer par la croix ; il ne peut être compris sans cela. Il sort ainsi du cadre habituel ; il commence d'ailleurs, dès les premiers versets de ce passage, par traverser une frontière géographique, mais aussi symbolique (une frontière n’est-elle pas d’ailleurs avant tout symbolique ?). Jésus sort du cadre habituel : avec la perspective de la croix. Le Sauveur n’est pas, dans un premier temps, un guérisseur, mais celui qui « souffre avec » ; il est ainsi vraiment sympathique et cela l’amènera jusqu'à la croix !!...

En cherchant à éviter cette publicité tapageuse au sujet de ses prodiges, Jésus manifeste qu’on n’entre pas dans la foi par une simple adhésion d'un moment à sa personne ; avec ce que la « personne » a d’apparence : comme l'origine de mot personne : le masque du théâtre grec ; nous voyons de la « personne » un aspect, une apparence ; chacun est plus que cela…

Le Christ aussi… il triomphera et nous donne toujours la vie en étant d’abord seul, abandonné de tous ; et décevant pour beaucoup... Et ne sommes-nous pas toujours ainsi : déçu par lui, lorsque ce qu’il nous apporte ne correspond pas à l’image que l’on se fait de lui, de ce qu’il devrait être et surtout faire, selon nous… Ne faut-il pas alors se demander si nous ne sommes pas alors passé à côté de l’essentiel, de la foi et de la vie ? Combien de déçus sont en fait restés à l’image tapageuse que Jésus a lui-même interdit de lui ?!...

Nous pouvons bien plutôt, et profondément, comprendre la foi chrétienne par la croix ; donc autrement que par nos catégories de jugements, nos idées préconçues sur Dieu, sur l’homme, sur le monde, et aussi sur soi-même. La foi est bien plutôt ouverture à l’autre, abandon à Dieu et à sa vérité.

C’est pourquoi la surdité du texte d’aujourd'hui symbolise, au-delà du cas physique, le drame de l’homme fermé à toute parole. Il ne peut plus entendre que lui-même et risque de ne plus recevoir de l’extérieur. Ce tableau, qui est aussi un peu le nôtre, à chacun d’entre nous, enfermé que nous sommes si vite dans notre univers personnel, Dieu nous en tire, nous ouvre à lui et aux autres.

 

Il vient à nous dans sa sympathie totale pour nous tirer de tous nos handicaps, et nous rendre toute dimension humaine. Comme pour le sourd-muet, la rencontre donne enfin la capacité d’entendre, puis de parler. Bien au-delà de l’obstacle physique, l’obstacle relationnel est parfois le plus difficile, mais le plus beau à dépasser.

 

Amen

 

intermède, ou silence

 

chant 609, les strophes 1 à 3

 

1. Quand le soir descend

Sur ma peur,

Montre-toi vivant

A mon coeur.

Quand le soir descend

Sur ma peur,

Réveille ma foi, Seigneur.

 

2. Je n’ai pas trouvé

Le trésor ;

Mais l’amour caché

N’est pas mort.

Je n’ai pas trouvé

Le trésor ;

Mon Dieu, je te cherche encor.

 

3. Viens chez moi t’asseoir,

Prends le pain !

Tu rejoins si tard

Mon chemin.

Viens chez moi t’asseoir,

Prends le pain !

Mes yeux s’ouvriront enfin.

 

 

Pour dire notre foi, nous pouvons reprendre le passage de la lettre aux Philippiens, jusqu'au bout de cette proclamation de foi :

 Jésus Christ :

lui qui est de condition divine
n’a pas voulu demeurer à l'égal de Dieu.

Mais il s’est dépouillé, prenant la condition de serviteur,
devenant semblable aux hommes ;
il a été reconnu comme un homme

il s’est abaissé,
devenant obéissant jusqu’à la mort,
à la mort sur une croix.

C’est pourquoi Dieu l’a souverainement élevé
et lui a conféré le Nom qui est au-dessus de tout nom,

afin qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse,
dans les cieux, sur la terre et sous la terre,

et que toute langue confesse que le Seigneur, c’est Jésus Christ,
à la gloire de Dieu le Père.

 

 

Ce que nous disons encore par le répons 822 :

Louange à Dieu, le créateur,

A Jésus-Christ, notre Sauveur,

Au Saint-Esprit, le défenseur,

Alléluia, Alléluia, Alléluia !

 

 

Annonces, offrandes

 

Intercession :

 

Le Christ nous donne des signes de sa Présence, de sa Grâce ; mais nous ne savons pas toujours les voir et les annoncer. En priant à l'intention tou-te-s de nos frères et sœurs, demandons lui aussi d'ouvrir nos cœurs à son Amour :

Seigneur, merci pour ta venue, et la victoire de la vie que tu nous a donnée ;
Pour tou-te-s celles et ceux qui accompagnent autrui dans ses difficultés, nous te prions

Pour la dignité des plus pauvres, des souffrants, pour les dirigeants et pour chacun, dans la recherche de compréhension, pour la justice et la paix, nous te prions

Voici le temps de la rentrée et de la reprise de nos activités. Pour que cette nouvelle année aide nos communautés humaines, et nos Eglises, à grandir dans l'attention aux autre, dans l'empathie et la Grâce, nous te prions...

Unis ainsi par ta Présence, en communion avec toutes celles et ceux qui le disent ce moment même sur toute la terre, et avec celles et ceux qui l'ont dit depuis des siècles, nous pouvons te prier avec les mots que Jésus lui-même nous a transmis...

 

 

bénédiction :

Que l’amour de Jésus-Christ notre lumière vous accompagne

et vous rende nous-mêmes rayonnants et fraternels.

Allez dans la joie du Seigneur ressuscité !

 

Répons (dans formule 3) : Arc-en-ciel 882

Que la grâce de Dieu soit sur toi

Pour t’aider à marcher dans ses voies.

Reçois tout son pardon et sa bénédiction.

Va en paix, dans la joie, dans l’amour.

 

 

 

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