NARBONNE 4 DECEMBRE 2022
CULTE FAMILIAL
Introduction
JO :
Quel plaisir et quel privilège de pouvoir nous retrouver, ici, ensemble pour ce culte spécial. Il a été préparé par Philippe, notre pasteur, et Christiane et nous allons pouvoir le vivre en pensant à eux car, ils sont, malheureusement, absents : Philippe a accompagné Alix, sa femme, auprès de sa belle mère qui vit ses dernières heures terrestres. Christiane, Martine et leurs compagnons sont cantonnés à leur domicile pour cause de Covid [et Patrick, notre cher président du conseil presbytéral est lui aussi dans un temps de maladie]. Bref, les absents, pour une fois ont raison de ne pas être parmi nous… Ils sont dans nos pensées et nos prières.
La grâce et la paix nous sont données de la part de Dieu notre Père.
Notre Seigneur vient, toujours !
Rappelons nous sa venue !
Du chemin vers la lumière, vers la Paix !
L’espérance nous est offerte ici et pour nos routes.
Dieu nous a invités pour l’écoute et le partage.
La Parole et la lumière nourrissent notre attente.
Dieu nous prépare un espace de fête.
Nous pouvons lui réponde Par le chant :
Arc 359 « ô peuple fidèle » =================== chant ordinateur
Louange
JEAN FRANCIS :
Seigneur, ta Parole habite parmi nous.
Au fil des siècles elle s’est transmise.
A son écoute, les peuples se sont réjouis.
Ils ont accueilli le salut dont elle témoigne.
Ton Esprit nous éclaire et nous donne de recevoir,
Ici et maintenant, cette Bonne Nouvelle.
CHANT : arc 652 : « grain de blé » ====================guitare
JO :
Nous nous préparons à Noël, à célébrer la venue de notre Seigneur… sur la paille…
Ce n’est pas rien… pour un Seigneur… et surtout lui… Qui donc est-il ?
Voici comment commence l’Évangile selon Matthieu, au chapitre 1, 1 – 7 :
JEAN FRANCIS : lecture de Matthieu 1, 1-7
JO :
Il y a beaucoup de monde, de noms : des célèbres, connus par la plupart d’entre nous et même les enfants ! et d’autres noms moins célèbres.
Anne, tu en connais ?
ANNE continue en évoquant deux personnes moins connues dont elle a entendu parler il y a quelques temps. Dans l’arbre généalogique de Matthieu, je veux dire, dans la liste des grands pères, des arrières grands pères, des arrières arrières grands pères et plus loin encore, il y a en effet la présence d’une certaine Ruth
JEAN FRANCIS : lecture de Matthieu 1, 5
JO :
Noémi et Ruth, sa belle fille, sont veuves et revenus d’exil en terre lointaine.
TAMBOURIN
ANNE :
Les ouvriers s’en vont. Ils saluent et remercient le maitre de moisson pour le repas. Alors l’homme se lève péniblement. Il trébuche et se rattrape aux branches basses d’un olivier.
Chaque année c’est pareil ! il boit un peu trop ! Mais comment faire autrement ? Le dernier soir du battage, le maitre offre à boire et à manger sur l’aire, là, tout près du grain qui sèche.
C’est la coutume qui veut ça. Un bon patron offre beaucoup à boire et il boit avec ses ouvriers.
La nuit tombe. Les moissonneurs rentrent par grappe au village. Le maitre de moisson devine encore leurs silhouettes sur le chemin mais distingue à peine les murs roses des maisons ; un groupe de femmes s’attarde près du feu, elles chuchotent puis entonnent quelques refrains joyeux.
Tambourin.
Mais elle, où est-elle ?
Non, Ruth n’est pas venue.
De plus, cette année est vraiment une année exceptionnelle : l’orge déjà, et maintenant le blé.
L'homme regarde le tas éclairé par un reste de feu. Il y en a une quantité incroyable. Il leur a fallu une bonne semaine pour battre. Les hommes n’ont ménagé ni leur peine, ni leurs fléaux. Les femmes non plus. A peine le vent du soir se levait qu’elles arrivaient par groupe avec leurs grands paniers pour glaner les épis restants.
Elle, toujours seule, venait en dernier avec le vieux tamis effiloché de sa belle-mère Noémie. Peut-être qu’elle n’a pas bien compris qu’elle était conviée à la fête.
Ou alors, elle n’a pas osé répondre à l’invitation de Booz, le maitre des récoltes.
Crapaud musical
La nuit s’appesantit sur les champs. Booz entend dans le lointain les sifflements des moissonneurs qui regagnent le village. Des rires aigus de femmes aussi.
Il l’a attendue. Il peut bien se l’avouer maintenant. Toute la soirée, il a regardé vers le chemin. Il jette un peu de bois sur le feu et se dirige vers le tas de blé. il va dormir tout près. C’est ainsi. Le maitre dort sur l’aire tant que le blé n’est pas rentré dans les greniers.
L'homme se tourne et se retourne. Il ne s’endort pas. Peut-être qu’elle ne pense pas à lui : il y a d’autres hommes au village.
Et que sait-il d’elle ? Peu de choses : elle vient d’ailleurs, d’un pays ennemi, rival, étranger ; elle est veuve, comme Noémie, sa belle-mère. Deux pauvresses qui ont tout perdu là-bas, au pays de Moab. Quand il lui a dit, le premier jour, qu’elle pourrait glaner autant qu’elle voulait, et manger avec eux, quand il a dit qu’il avait donné des ordres pour que les hommes ne l’ennuient plus, elle l’a regardé longtemps. Alors le cœur de Booz, son cœur déjà usé par l’âge, a bondi dans sa poitrine, comme celui d’un cabri.
Faire rouler un caillou.
Une odeur de parfum coule du chemin, s’étale au ras du champ et se mélange à celle du blé. Mais l'homme dort ; il n’entent pas le caillou, il ne sent pas la fragance (la bonne odeur du parfum). Il ne remarque pas l’ombre tapie derrière le mur.
ERIC : projeter la miniature : on en a mis une autre en couleur (Jessé)
ANNE :
Il rêve.
Il se voit couché sur l’aire.
Un arbre sort de son corps. Le chêne vert s’élève vers le ciel dans un bruissement de feuilles.
Le rêveur voit maintenant des figures humaines qui s’étagent sur les branches de l’arbre.
Le premier est un roi d’une grande beauté : David. Il pince les cordes d’un luth et son chant se perd dans les étoiles.
Le deuxième, Salomon, tient une épée d’or. Il juge et il tranche.
Le troisième, le quatrième…tous sont rois.
Il y a aussi quatre noms de femmes : Tamar, Rahab, Ruth et la femme d’Urie : Bethsabée.
Tout en haut du chêne, il y a un nouveau né qui arrive au monde à Bethléem, ce qui veut dire « la Maison du pain ». Il y a un homme et une femme qui se penchent sur lui, couché dans la paille d’une mangeoire.
ERIC : projeter une œuvre de Chagal
Cantique 351 : « d’un arbre séculaire » ==================musique ordinateur
Bol tibérain
ANNE :
Booz sursaute. Il se réveille d’un seul coup. C’est l’aube déjà. Il rejette la couverture. Et il voit… il y a quelqu’un ! … Là, tout près de lui, près de la paille blonde, il y a quelqu’un ! L'homme bondit : « Qui est là ? »
La forme se déplie. Le parfum se déploie. Il la reconnait. C’est elle, Ruth, du pays de Moab, Ruth sortie de son rêve…
« Noémie m’a dit que tu es racheteur ? S’il te plait, rachète-moi » dit-elle alors.
L'homme se penche vers le visage levé de la femme. Il respire son parfum.
Racheteur ? Il n’avait pas pensé à cette histoire de rachat.
JEAN FRANCIS :
La loi juive prévoit les remariages des veuves. Dans le cas où le mari mort ne laisse pas d’enfant à sa femme, le racheteur – le frère ou le plus proche cousin – épouse la veuve, lui fait un enfant et rachète s’il le faut les biens du défunt. Il assure ainsi une descendance au mort, un avenir à la veuve et de quoi survivre.
Booz a un plus proche parent qui devrait racheter Ruth.
Bol tibétain
Booz est debout, il parle : « Ta belle-mère dit vrai, mais il y en a un autre, un parent plus proche. Je m’en occuperai dès que possible ».
Il ôte un a un les brins de pailles qui parsèment les longs cheveux torsadés de Ruth la Moabite.
« Donne-moi ton manteau » dit-il.
Elle frissonne.
Il va vers le tas de blé. il y plonge ses mains et remplit son manteau de grains dorés.
« Ainsi, tu ne rentreras pas les mains vides chez toi ».
C’est ainsi que Booz, le maitre de la moisson, a épousé Ruth, la veuve du pays de Moab, celle qui était revenue avec Noémie, sa belle-mère, veuve aussi, revenue dans son village de Bethléem.
ERIC : reprojeter Chagall
JO :
Ils ont eu un fils, Jobed, dont l’un des fils, jessé, a lui-même eu 7 fils, dont l’un David, le plus petit, a eu à son tour 17 fils, dont l’un, Salomon, a eu des fils dont l’un…
Le chêne est monté haut dans le ciel du temps tout scintillant d’étoiles.
Et le temps a passé. Jusqu’à cette nuit-là.
Sur l’aire abandonnée d’un des champs au bas de Bethléem, il y a une femme venue de Galilée avec son époux. Elle gémit de la douleur qui lui tord le ventre : le descendant de Ruth et de Booz est en train de naitre.
Il sera Bethléem, Maison du Pain, pour nos faims lancinantes, nos désirs toujours exacerbés.
Il sera pour nous le Racheteur.
Racheteur de nos deuils, de nos impasses, de nos stérilités.
Cantique 316 : « peuples qui marchez dans la longue nuit » ========Eric
JO :
Et nous, aujourd'hui ? Dans un culte, il y a une dimension d’actualisation. Ce sont nos prédications ; ce fut déjà la cas avec la narration. Continuons :
- nous avons entendu que Bethléem signifie « la maison du pain ». Le pain nourriture de base.
JEAN FRANCIS
cela a toujours été important ; et ça l’est de nouveau particulièrement aujourd'hui : nous pensons à la crise en Ukraine.
JO :
Et à ce qu’elle provoque comme risque de manque de blé, en particulier pour les pays pauvres… Un rappel que notre vie est fragile, fragilisée. Mais nous n’avons pas à nous laisser prendre par toutes sortes de peurs… Comment ? Par la solidarité à laquelle nous sommes appelés, avec toutes et tous, grâce à toutes et tous. comme dans le récit de Ruth et Booz : c’est en franchissant des frontières, comme Ruth, et en accueillant, comme Booz, que chacun peut s’en sortir.
Et bien plus encore : il s’agit de nous souvenir que la vie est d’abord quelque chose que l’on reçoit. Cela nous donne une confiance, au-delà de nos circonstances, au-delà du mal qu’il y a dans le monde…
ANNE :
OK. Mais quel rapport avec Noël ?
JEAN FRANCIS :
Il y a des symboles de Noël qui nous rappellent cette vie… En particulier des décorations que l’on met sur le sapin… Comme par exemple les boules :
- elles viennent du fruit de la Genèse, qu’Adam et Eve ont pris.
- mais il y a aussi des morceaux de pain[[azyme]], rappelant le corps de Jésus Christ que nous partageons, lors de la sainte cène. [[ ces morceaux de pain azyme, ce sont les hosties]]
JO :
Effectivement…ce n’est donc pas seulement chez les catholiques… Ils sont le rappel de la rédemption, par le don de Jésus. Nous mettons ainsi sur le sapin :
- soit des boules de couleurs différentes
- soit des friandises [[douces comme ces hosties]], douces comme la vie à laquelle Jésus nous invite, qu’il nous promet, qu’il nous offre…
ANNE AVEC LES ENFANTS : mettre ces différentes décorations au fur et à mesure qu’on les énumère.
JO :
Et d’autres symboles ?
ANNE :
Oui : des gâteaux, de nouveau, la douceur…
Et faits avec du blé !
JO :
Vous êtes un peu gourmands… vous seriez capable de nous transformer du bois, comme ce sapin, ou les bûches pour la cheminée en gâteaux…
Il n’y a pas d’autres choses ?
JEAN FRANCIS :
Il y a bien d’autres choses. Comme l’étoile… Elle a guidé d’autres personnes, comme les Mages, venus de loin, d’autres pays, vers Jésus, le Seigneur, Dieu né sur la paille… Nous allons donc vous donner et décorer tout à l’heure des étoiles en paille. .. Ce qui rassemblent des idées si importantes de Noël… des étoiles qui parlent du ciel et de la terre, faites avec un matériau humble et terre à terre ; des décorations authentiques et écologiques…
JO :
Dans le vrai sens du terme, le terme premier, comme selon son étymologie oiko logia : une Parole pour la maison commune.
Et nous sommes revenus à nos moutons… et brebis… nous…
-et la théologie de Noël : un Dieu né sur la paille, à Bethléem, la maison du pain ; avec tant de dimensions quant au blé, pour le pain de vie.
- comme nous pouvons le lire dans le très beau livre de Pascal Geoffroy : 40 plantes de la Bible : une des paroles les plus saisissantes de l’Évangile s’enracine dans une observation qui remonte à l’origine la plus lointaine de l’agriculture : si le grain de blé qui tombe en terre ne meurt pas, il reste seul ; si, au contraire, il meurt, il porte du fruit en abondance. (…)
Une des lectures possible : le but de toute vie, est de permettre, sur cette terre, à l’avenir de voir le jour ; de préparer un lendemain ; de l’espérer meilleur et plus fécond que le présent.
Il y a bien d’autres symboles de Noël, que nous verrons peut-être l’an prochain. Et que nous pouvons déjà chanter avec un cantique qui nous rappelle bien des images importantes du folklore autour deNoël.
Cantique 772 : « Mon beau sapin » =================== musique ordinateur
JO : SAINTE CENE
JO / SAINTE CENE
Les graines forment le pain – et nous le partageons.
Les raisins remplissent la coupe – et nous en prenons tous
Avec chaque bout de pain, avec chaque gorgée de jus de raisin, nous nous souvenons : Dieu nous donne la vie, Dieu nous donne à manger et à boire, il garde notre vie
Avec chaque bout de pain, avec chaque gorgée de jus de raisin, nous nous rendons compte : Dieu nous lie les uns aux autres, il veille sur nous, il garde notre vie
Avec chaque bout de pain, avec chaque gorgée de jus de raisin, nous reconnaissons : En Jésus, Dieu nous a fait comprendre que l’espérance est toujours plus forte que la souffrance et la vie, plus forte que la mort, oui, Dieu nous garde.
Avec chaque bout de pain, avec chaque gorgée de jus de raisin, nous ressentons : Dieu nous lie les uns aux autres, il enlève ce qui nous divise, Dieu nous sauve.
Avec chaque bout de pain, avec chaque gorgée de jus de raisin nous espérons : Comme les épis de blé s’épanouissent sur nos champs, comme les vignes portent du raisin, la vérité et la justice grandissent et mûrissent en nous. Dieu renouvelle notre vie.
Maintenant, comprenez vous pourquoi nous mangeons le pain au culte, et pourquoi nous partageons la coupe ….car ils nous parlent de tout cela. Qui a eu l’idée de faire ainsi ?
Institution :
C’est Jésus qui a demandé de faire ainsi. [Prendre une bible dans la main et dire] : La dernière fois qu’il était rassemblé avec les disciples, ils étaient autour de la table et partageaient un repas. Et Jésus prit du pain et dit : Ceci est mon corps, donné pour vous. Mangez-en en mémoire de moi. Rompre le pain.
Son corps?
Oui, c’est ce qu’il a dit, car il est mort peu après. Et au début les disciples n’ont pas compris pourquoi il devait mourir. Ils ne voyaient pas de sens. Ce n’est que plus tard qu’ils ont compris que Jésus a risqué sa vie pour eux. Mais en laissant un message important : il ne faut pas avoir peur dans la vie, devant personne. Dieu est toujours avec nous, même dans les moments de souffrances. Le pain veut nous encourager, nous fortifier au nom de Dieu.
Et la coupe alors ? Jésus a également pris la coupe et dit : voici la nouvelle alliance dans mon sang. Élever la coupe.
Alli ….li – ance – …cela veut dire : un contrat, un engagement, l’un pour l’autre. Chaque fois qu’on boit la coupe, on se souvient : Dieu nous a promis de rester toujours fidèlement à nos côtés, il pardonne nos fautes et il nous aide dans nos soucis …
Les enfants peuvent-ils prendre eux aussi de ce pain et de cette coupe ?
Oui, c’est ce que nous allons faire, mais avant, nous allons nous mettre en cercle, car c’était ce que Jésus voulait : que nous nous rassemblions pour partager ce pain et cette coupe. Venez, tout est prêt.
Prière :
A Avant de partager le pain et la coupe, nous prions : Nous nous réjouissons d’être réunis en ton nom, Seigneur. Ta présence nous fait du bien. Tu nous vois tels que nous sommes, avec nos fautes, Avec nos soucis, Avec ce qui nous rend heureux, aujourd’hui, nous voici, et nous avons hâte de sentir l’amour que tu nous portes. Amen
Cantique : par exemple, Alléluia 21/16, 1.2. Avec toi Seigneur …
Partage
Le pain de la vie pour toi. Invite à se passer le pain en disant à chaque fois qu’on donne le pain à son voisin : « Le pain de la vie pour toi »
La coupe de l’alliance pour toi. Invite à se passer la coupe en disant à chaque fois qu’on donne la coupe à son voisin : « La coupe de l’alliance pour toi »
Prière Nous te remercions pour ce repas. Ce repas est différent des autres repas. Il nous fait sentir que tu es toujours avec nous. Il nous fait sentir que tu nous aimes tels que nous sommes. Il nous fait comprendre qu’en ton nom, nous pouvons être en communion les uns avec les autres et que nous avons beaucoup à partager. Amen
Vous allez ainsi emmener avec vous le goût de la joie, la force que Dieu nous donne par ce repas, l’envie de continuer à vivre en communion les uns avec les autres, aussi hors de cette salle/ ce temple/ cette église. Vous pouvez regagner vos places.
Cantique à toi la gloire 1er couplet
ERIC : annonces, offrande
JEAN FRANCIS : intercession
Regarde moi, Seigneur Dieu, je suis devant toi et déplié comme un livre dans lequel tu peux lire tout ce que je suis.
Ton regard est celui d’un ami qui aime et qui comprend.
C’est le regard de Jésus lorsqu’il rencontrait des hommes, des femmes, des enfants.
Tous se sentaient compris, aimés, appelés à mieux faire.
J’aimerais bien regarder le monde et les hommes avec le même regard que toi. Mais souvent je m’arrête à la surface, à l’extérieur, alors je suis déçu, ou pire, je juge.
En ce temps de l’Avent, apprends moi, Seigneur Jésus, comme toi, à regarder avec le cœur. Amen.
JO : envoi
En rappel de cette vie que nous recevons, qui vient au-delà de nous même, même de la mort comme Jésus nous en a laissé une parabole, grains de blé qui germe, nous allons vous donner à semer des grains (de blé ou autres) qui lèvent et décoreront la table/les tables de vos maisons.
ANNE/ ERIC ? à distribuer avec projection de la photo de germes ;
JO : bénédiction
Le Seigneur nous bénit et nous garde ! Car sa lumière brille, elle éclaire le monde. Sa paix nous est donnée, elle s’étend sur toute la terre. Amen.
Chant : il est né le divin enfant ======================= musique ordinateur
REFRAIN :
Il est né, le divin enfant !
Jouez, hautbois, résonnez musettes !
Il est né, le divin enfant !
Chantons tous son avènement !
Depuis plus de quatre mille ans,
Nous le promettaient les prophètes,
Depuis plus de quatre mille ans,
Nous attendions cet heureux temps.
Refrain
Qu’il est beau ce divin enfant !
Sa beauté, sa grâce est parfaite !
Qu’il est beau, ce divin enfant !
Qu’il est doux ! ah ! qu’il est charmant !
Refrain
Pendant le gouter, bricolage d’une étoile en paille.